Article déjà publié sur ce blog le Jeudi 16 octobre 2014
Le krach financier local et mondial c’est celui de la production.
Le krach de la gouvernance locale et mondiale c’est celui de la production.
La crise générale du capitalisme c’est accélérée vers une crise finale dès les années 1970, puis en 2008 pour aboutir dans les semaines, mois et années qui viennent.
Il est enfantin (mais notre humanité en est à une dangereuse crise de croissance) d’injecter du capital (par la BCE, la FED etc...., par les banques centrales, via le drainage des capitaux par l’austérité) au-delà du garrot qu’il crée lui-même, …de les injecter pour faire « redémarrer » sa circulation (du capital), dans les dettes par exemple, au lieu de l’injecter dans la production des biens nécessaires à l’humanité, à la personne humaine, au quotidien et dans ses projets sains de tous ordres, la recherche scientifique et les solutions qu’elle peut apporter, entre autres « dépenses »…
Un budget d’Etat n’est pas un budget familial (on nous le fait croire), il a entre autres les moyens de la création monétaire…
Les lois de l’échange en capital, A-M-A+ (voir cette définition dans les articles de ce blog) constituent le garrot grandissant à la circulation des biens et des moyens d’échanges.
Faute de temps, je mets en ligne 5 petites pages de brouillon (sur le lien ci-dessous), faites à Milan sur un coin de table de café, sur la crise mondiale de gouvernance, que je mettrai j’espère au propre plus tard, m’excusant auprès des lecteurs éventuels (merci à eux et à leurs échanges), sachant, eux et moi, le peu d’utilité de ces réflexions…
Le lien en question : http://pierreassante.fr/dossier/MILAN_2014.10.12.pdf
Pierre Assante, Jeudi 16 octobre 2014
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