Ci-contre, la page 67 du livre d'Alfred Ancel. Il donne une vision de ce qu'a été et pu être, peut être encore, dans un certain niveau de lutte et de conscience, ce que peut penser et proposer un croyant à partir de la réalité qu'il vit à titre personnel et social et la rencontre avec le marxisme et ses données générales et du moment et à venir.
Évidemment, aujourd'hui comme hier, les relations entre chrétiens et communistes, entre "croyants" et "non croyants" (Sur le terme "athée", lire les manuscrits de 1848 de Marx) ne sont pas sans contradictions. mais pas non plus sans objectifs pratiques communs possibles et effectifs. D'autant qu'un objectif pratique ne contient jamais des objets inanimés. Tout objet entre les mains humaines contient la culture accumulée, en mouvement, du passé, du présent et de toutes les utopies opérationnelles, les novums pointant le futur des fronts de progrès. Tout objet entre les mains humaines contient la conscience de la nature sur elle-même en processus qu'est l'humanité. Ceci vaut pour le dialogue et l'action commune entre chrétiens et communistes comme avec tous les croyants...
Pierre Assante, 24 avril 2013
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