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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 19:51

    2012 02 25  METAMORPHOSE-5.jpg

Cet article a été publié la première fois sur ce blog le 14 mai 2010

 

PRESENTATION DE L'OUVRAGE

 

Lorsqu’on veut parler TRAVAIL, penser TRAVAIL, on ne peut pas ne pas avoir en arrière-plan les notions élémentaires d’évolution de l’activité humaine, de l’HOMO HABILIS à l’industrialisation sous la forme actuelle du capitalisme, informationnel, mondialisé. On ne peut pas ne pas faire le lien entre le travail, l’outil, les techniques et les « formes de pensée » induites.

Cet arrière plan permettant d’entrer dans l’étude micro et macro du travail ne peut non plus contourner la question de la production, de la distribution, de la consommation, c'est-à-dire la production en tant qu’échange et ses diverses formes vécues et possibles.

« L’introduction à la critique de l’économie politique » forme les prémices à la rédaction du « CAPITAL » de Marx, qui vont se développer au livre I avec l’étude de la marchandise, de la valeur, puis de la révolution industrielle : libération du travail de la « force biologique », de « l’adresse de l’artisan », de « l’initiative de l’opérateur exécutant », avec ce que cela induit dans l’explosion des forces productive mais aussi de l’aliénation de l’homme producteur.

Enfin, la vision globalisée de Marx qui aboutit au livre III au développement des questions de la baisse tendancielle du taux de profit, la péréquation des salaires, prix, profits.           

Puis Marx s’arrête où sa vie s’arrête.

Je me réfère dans cet essai à cette «Critique de l’économie politique »,  comme  à l’œuvre d’Yves Schwartz et des ergologues de cette école et celles d’Henri Lefebvre, Ernst Bloch, Walter Benjamin,.....

 

La grande production automatisée ne peut exister dans le mode de production capitaliste que comme prémices du mode de production communiste. Pour exister elle doit concentrer les profits mondialisés du travail de main d’œuvre.

La masse de la production permet l’augmentation globale des profits mais la baisse tendancielle du taux de profit est la contradiction insurmontable de la mondialisation capitaliste.

De même l’État en voie de mondialisation, dont la partie visible se concrétise dans  les institutions internationales économiques et juridiques, ne peut exister dans le mode de production capitaliste que comme prémices mutilées d’une cohérence mondiale du travail, de la démocratie généralisée, de la suppression de l’État lui-même.

Cet Etat « mondialisé » et l’automatisation d’une partie de la grande production ont pour conditions le drainage des capitaux par le premier et son accaparement à titre privé dans la financiarisation sans laquelle aucun profit ne peut se réaliser par la production.

 

La financiarisation ne peut exister sans la production tout en entrant en contradiction avec la production.

 

La mondialisation du capital de type « féodal » est l’antichambre du communisme.

 

La tache essentielle du XXI° siècle sera l'apprentissage par les salariés et leurs alliés de la gestion et de la transformation du travail.

 

Sinon ils resteront sous la coupe d'une classe dominante qui a perdu, de par l'évolution qu'elle a elle-même impulsé, tout rôle progressiste.

Elle est devenu une atrophie mourante et rigide dont nous dépendons.

 

Tout le reste n'est pas secondaire mais dépend de cette capacité d'apprentissage.

  

De cette transformation de l'organisation du travail dépend non seulement la survie (relativement) immédiate de l'humanité, mais aussi sa capacité à observer le processus qu'elle a elle-même créé et qui la rendra ou non capable de s'ouvrir à une compréhension de l'univers qui pour le moment lui est incompréhensible dans une totalité, une globalité à horizon indéfiniment mouvant mais pas fuyant si nous sommes capables de cette observation.

  

L'ergologie, sous l'impulsion d'Yves Schwartz nous donne la possibilité, les outils pour une transformation du travail. A nous de nous en servir.

 

L’humain en créant se crée lui-même.

 

Il ne comprend qu’après ce qu’il a créé en voyant le processus de ce qu’il a créé derrière lui, et le processus de la nature dont il fait partie et dont il devient la conscience

  

Ce recueil est constitué d’un choix d’articles

entre Juillet 2007 Juillet 2009

 

VOIR CI DESSOUS LE TEXTE INTEGRAL et SUR 2 SITES AMIS

 

SUR CE SITE : ici

http://www.pierreassante.fr/dossier/BLOG_LA_METAMORPHOSE_DU_TRAVAIL_5.pdf

    

La métamorphose du travail sur 3 sites amis :


Sur Emigrazione Notizie :

http://www.emigrazione-notizie.org/public/upload/LA_METAMORPHOSE_DU_TRAVAIL_Pierre_Assante.pdf

http://www.emigrazione-notizie.org/downloads.asp?id=198

 

Sur Espaces Marx

http://www.espaces-marx.net/IMG/pdf/contribution_P-Assante.pdf

 

Sur Tavail et Démocratie(mais ce site n'exuste plus !): 

http://travail-democratie.net/jml/index.php?option=com_content&view=article&id=84:la-metamorphose-du-travail-par-pierre-assante&catid=57:autres-contributions-&Itemid=73

http://travail-democratie.net/jml/attachments/084_LA%20METAMORPHOSE%20DU%20TRAVAIL%2051.pdf

 

ET, Accéder, en cliquant sur le lien ci-dessous à :

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