Cet article de rené MERLE :
M'a inspiré cette réflexion, un peu condensée et confuse.... :
Si je participais au courrier des lecteurs d’Avui :
Si la résultante des mouvements de la société était l’uniformisation (ce qui n’est pas votre hypothèse, mais en fait votre hypothèse ne peut que nous entrainer dans ce sens), cela voudrait dire la fin de la capacité de choix sur la nécessité, la régression de la conscience à l’instinct, un instinct généralisé uniformisé.
Impossible de régresser ainsi, le sens de l’évolution c’est justement le « passage de l’instinct à la conscience ». Pour l’expérience historique française comme pour toute expérience historique.
Une telle régression c’est plutôt la mort des entités qui la subissent.
Mais comme l’évolution sociale se construit strate sur strate, ce n’est pas la France qui disparaît dans une assimilation mutuelle avec les autres identités constituées et mutuellement dominées entre exploiteurs et exploités, conquérants et conquis, c’est une sublimation des conquêtes en assimilation des droits et des échanges qu’un dominant croit empêcher à son seul profit, et la poursuite du mouvement vers le haut.
Les régressions ne peuvent être que relatives dans le mouvement de cette généralité qu’est l’humanité et dont la généralité n’est qu’une vue de l’esprit, une abstraction inopérationnelle.
Il n’y a pas de choix entre la vie et la mort, c’est l’une ou l’autre, avec ou sans résurrection sous une forme supérieure si un mouvement, une vie doit se poursuivre, pour la France comme pour toute entité constituée, en constitution permanente.
Pierre Assante, 20 mai 2012
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