à Yves B.,
J'ai lu avec beaucoup d'intérêt mais surtout beaucoup d'émotion ta contribution sur Ergologia N°10, décembre 2013.
Il y a deux camarades avec lesquels je me suis retrouvé particulièrement sur la question du syndicalisme et du travail.
C'est Jean-Philippe et Georges : ils nous ont quitté tous les deux. Leur situation de réflexion était particulièrement celle de l'inconfort intellectuel.
On peut dire que la FSU et surtout le SNES ont été avant leur pénétration par la pensée ergologique au sens strict, en avance en pratique à travers la conception d'un syndicalisme de métier. Ce n'est pas caricaturer que d'y voir de l'ergologie en action.
Il est triste, sans que l'on puisse le reprocher à personne de voir s'estomper ce syndicalisme de métier, sinon s'effacer devant le syndicalisme d'employeur, sans que cela cause de grands remous ni de grandes interrogations...?
Crise et régression ? Certes, il peut y avoir des avancées à l'intérieur de la régression, je l'espère....
Pierrot
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